Le Peuple d'À Côté

  • Accueil
  • Trouver une plante
  • C’est quoi une plante ?
    • La Fleur
    • Inflorescences
    • Sexualité des Spermatophytes
  • Blog
  • Contact

Hibiscus et autres Malvaceae

Hibiscus Musée Masséna Nice 06
Hibiscus mutabilis

Famille des Malvaceae

Cette famille fut décrite, et ainsi nommée, par Antoine-Laurent de Jussieu en août 1789 dans son ouvrage ‘Genera Plantarum’, ce sont des plantes dites ‘à fleurs’, des dicotylédones. Cette famille semble être la plus évoluée de l’ordre des Malvales. Les ascendants de cette famille étaient présents dès le Paléocène (66 à 56 MA) ou l’Éocène (56 à 33,9 MA).
Le nom Malvaceae vient du latin malva qui désignait différentes espèces de cette famille, nom lui-même issu du grec ‘malakos’ signifiant ‘mou’ ou ‘amollir’ en référence à l’aspect des feuilles, mais surtout des qualités émollientes de certaines espèces. Cette très grande famille regroupe 240 genres avec plus de 4 000 espèces.
Le botaniste, pharmacien allemand, Carl Willdenow fut un des premiers à s’y intéresser botaniquement en 1800, puis de Candolle en 1824 ; on doit la première monographie (étude complète et détaillée d’un sujet précis) au botaniste suisse Bénédict Hochreutiner en 1900, monographie qui à l’heure actuelle est considérée comme partiellement obsolète. De nombreux botanistes se sont penchés sur cette immense famille, autrefois elle fut subdivisée en 4 familles, mais au fil du temps de nombreuses classifications tentèrent d’éclaircir ces subdivisions, la classification phylogénétique de 2009 les a regroupées, et a constitué les sous-familles suivantes : Byttnerioideae – Grewioideae – Sterculioideae – Tilioideae – Dombeyoideae – Brownlowioideae – Helicteroideae – Bombacoideae – Malvoideae.
Dans cet article ne sont évoqués que les genres de la sous-famille Malvoideae, toutefois vous pouvez découvrir sur ce site d’autres genres tels les brachychitons de la sous-famille des Sterculioideae, le lagunaria de la sous-famille des Bombacoideae, et les tilleuls de la sous-famille des Tilioideae.
Le nom de Malvoideae a été créé par Gilbert Burnett en 1835, et représentait particulièrement le genre Malva, puis ce nom fut oublié avant d’être remis au goût du jour lors de la revisite de la famille des malvacées.
Désormais la sous-famille des Malvoideae serait constituée de 78 genres avec 1670 espèces, elle regroupe approximativement toutes les espèces qui constituaient auparavant la famille des Malvaceae au sens strict ; elle est subdivisée en 4 à 7 tribus selon les auteurs. C’est la sous-famille des mauves (+lavatères), des guimauves, des roses trémières, des abutilons, des pavonies, du gombo, pour les plus connus… sans oublier le coton (Gossypium) qui fournit à l’homme le produit le plus rentable des malvacées.
Le plus grand genre des Malvoideae est l’hibiscus dont les caractéristiques sont définies ci-dessous, mais vous pouvez aussi consulter les fiches d’autres genres en fin de document ou en cliquant içi : Abutilon – Alyogyne – Alcea (rose trémière) – Malva (mauves et lavatères).
Les Malvoideae sont pour la plupart des herbacées et des arbustes, mais certains genres se développent aussi en arbre. Elles se caractérisent par des feuilles alternes, des sépales et des pétales par 5, un tube staminal (avec de nombreuses étamines) souvent très long pour une grande majorité des espèces, un ovaire à 5 loges, voire plus, des fruits en capsules ou en noix ; généralement les fleurs ne s’autopollinisent pas, elles utilisent les insectes pour éviter cela.

Hibiscus , Malvaceae

Hibiscus

« La beauté ne dure qu’un instant et disparaît ensuite en un clin d’œil.
Les fleurs d’hibiscus sont comme un beau rêve lors d’une nuit d’été, fugaces mais offrant aux gens des visions plus belles
» – Écrit de Sun Hai

Classification

Famille Malvaceae, sous-famille Malvoideae, tribu Hibisceae. Dans cette famille, l’hibiscus fait partie des genres les plus primitifs. C’est le plus grand genre de la famille avec au moins 300 à 400 espèces ; il existe de très nombreux hybrides et cultivars.
La grande difficulté dans la classification des hibiscus vient de leur succès : ce sont de très belles plantes qui, plus est, sont utiles à l’homme. Certaines sont cultivées depuis l’Antiquité, voire depuis beaucoup plus longtemps, de plus certaines espèces s’hybrident très facilement ; il est bien difficile de les identifier, et seules des recherches basées sur l’ADN pourraient définir de véritables sections dans le genre Hibiscus ainsi que la validité des noms des espèces, sous-espèces et variétés ; ce n’est pas un cas unique dans le monde végétal puisque les oliviers ont vécu la même épopée.
L’espèce rosa-sinensis représente particulièrement le genre Hibiscus, et pourtant son statut a été remis en question lors d’études scientifiques publiées en 2024 ; rosa-sinensis serait en fait un hybride très ancien issu de l’hibiscus kaute et de l’hibiscus cooperi (voir l’article Hibiscus rosa-sinensis). Au cours des siècles, rosa-sinensis s’est hybridé naturellement, et des cultivars ont aussi été créés. Difficile d’y voir clair quant à leurs identités !
Les espèces se caractérisent par la morphologie du tube staminal, plus ou moins long, portant les organes sexuels mâles, et par la présence souvent généralisée d’un calicule (ensemble de bractées vertes comparables aux sépales) qui se développe à l’extérieur des sépales et les double alternativement ; le nombre de bractées et la forme du calicule peuvent être des éléments d’identification ; le calicule est fréquent chez les rosacées et les malvacées.

Origines

Originaires de toutes les zones tropicales et subtropicales, et des zones tempérées chaudes ; de nombreuses espèces sont originaires d’Asie du Sud.

Découvertes et Introductions

. Certaines espèces auraient été introduites en Europe, via l’Espagne, dès le XIIe siècle par les Maures, et de là en Amérique au XVIIe siècle.
. Lors de son voyage autour du monde, le naturaliste et explorateur français Philibert Commerson (1727-1773) a découvert de nombreuses plantes, il les a nommées et herborisées, il a aussi envoyé des graines au Jardin du Roi.

Habitat

En France, on trouve un peu partout l’althéa – Hibiscus syriacus, mais sur la Côte d’Azur, on peut admirer en pleine terre différentes espèces telles mutabilis, coccineus, moscheutos, rosa-sinensis… L’espèce trionum est une petite herbacée originaire de l’est du bassin méditerranéen qui s’est naturalisée en Italie et sur la Côte d’Azur où elle pousse spontanément.

Hibiscus rosa-sinensis - Promenade des Anglais à Nice

Noms

– Hibiscus L.
Nommé par Carl von Linné en 1753.
D’après Pedanius Dioscoride (40-90), le nom Hibiscus du latin Hibiscum vient du grec ‘Ibiskos’ désignant la guimauve – Althaea officinalis. Il est aussi raconté que ce nom viendrait de l’ancienne divinité égyptienne Hibis, il existe un temple qui porte ce nom.
– Ketmie de l’arabe ‘Khatmi’ ou ‘Khitmi’ désignant la guimauve.
– Rose Mallow de mallow – la mauve rose, est un nom anglophone souvent utilisé pour désigner les hibiscus.
– フヨウ属 – Fuyô est son nom japonais.
– 木槿属 – Mu jin shu est son nom chinois.

Caractéristiques

– Points communs entre les hibiscus :
∙ Les différents organes sont souvent pubescents (poilus). Les poils de certaines espèces peuvent se révéler irritants.
∙ Le tube staminal plus ou moins long (critère d’identification) portant les organes mâles, et abritant les organes de reproduction, est une des caractéristiques principales des Hibiscus.

étamines de l'hibiscus

∙ Le calice est doublé à l’extérieur d’un calicule (épicalice). Ce calicule forme une sorte de grillage autour des sépales, il est constitué d’un disque plat d’où se développent plusieurs bractées (organes intermédiaires entre la feuille et le pétale) plus ou moins longues selon l’espèce, linéaires et arquées, ou plus ou moins ovales (Hibiscus lavateroides), ou parfois campanulées.

Sous-famille Malvoideae
Hibiscus coccineus
épicalice de malvacées, sous famille Malvoideae
Hibiscus coccineus - étoile du Texas

– Ce sont soit des arbustes pouvant atteindre jusqu’à 5 m de haut selon l’espèce, soit des herbacées, certaines annuelles, et d’autres vivaces (pour la plupart) dont la partie supérieure disparaît durant les périodes froides, puis elles repartent de la souche : Hibiscus moscheutos – hibiscus coccineus – Hibiscus cannabinus…
Autrefois, l’espèce tiliaceus atteignant au moins 10 m, donc un arbre, faisait partie des Hibiscus, mais désormais, cette espèce est classée dans le genre Talipariti.
Certaines espèces, généralement d’Inde et d’Australie, ont des tiges épineuses.
– Les feuilles persistantes ou caduques, selon l’espèce et la région de culture, sont alternées, souvent simples ou plus ou moins lobées. Elles présentent des formes variées selon l’espèce.

feuilles Hibiscus coccineus
Hibiscus coccineus
feuille Hibiscus rosa-sinensis
Hibiscus rosa sinensis
feuilles Hibiscus mutabilis
Hibiscus mutabilis

– Si la floraison est abondante, de l’été à l’automne, voire toute l’année en régions appropriées, les fleurs sont éphémères, de quelques jours à une journée, voire même quelques heures seulement, c’est pour cette raison que l’Hibiscus trionum est surnommé ‘fleur d’une heure’.
Les fleurs se développent à l’aisselle des feuilles, on les dit axillaires. Elles sont hermaphrodites (bisexuées), nectarifères, elles développent des pièces florales par 5 sur un axe généralement symétrique comme une étoile – actinomorphe ; elles sont isolées ou en inflorescences (grappes de fleurs).
Le bouton floral est souvent torsadé. Il s’épanouit la plupart du temps durant la nuit et au petit matin, aux premières lueurs du jour.
Les fleurs fanées restent très esthétiques.

Hibiscus palustris
Bouton floral Hibiscus moscheutos
フヨウ - Fuyô
Fleurs fanées Hibiscus mutabilis

. Au bout du pédoncule (tige de la fleur) se développe un calicule formé de bractées généralement libres.
∙ Le calice campanulé comporte 5 sépales soudés ; il est persistant.
∙ La corolle est composée de 5 pétales libres, parfois soudés à leur base, parfois se chevauchant, néanmoins, ils sont toujours soudés à la base de la colonne staminale, parfois ils présentent une base nettement effilée. La couleur des pétales est variée, le cœur de la fleur est souvent de couleur différente afin d’attirer les pollinisateurs vers le nectar, et surtout avec un passage par les organes sexuels.
Des exceptions : la fleur de schizopetalus est pendante, et la fleur de l’espèce insularis a un port bien dressé, des pétales blancs récurvés, au cœur rouge, et des étamines aux filets spiralés et très partiellement réunis, les laissant s’épanouir en bouquet.

fleur Hibiscus rosa-sinensis
fleur Hibiscus-calyphyllus
fleur Hibiscus moscheutos

∙ Les nombreuses étamines (pièces florales mâles) aux anthères (extrémités fertiles porteuses de pollen), de couleurs variées selon l’espèce, sont regroupées et soudées par leurs filets (monadelphes) formant un tube plus ou moins long de couleur parfois semblable aux pétales, ce tube se termine par 5 petites dents plus ou moins marquées (caractère primitif) ; autrefois, on qualifiait de columnifères, les espèces ayant ce type de tube staminal. Les étamines ne sont pas regroupées au sommet du tube, mais sont réparties tout au long du tube staminal, c’est un critère primitif ; chez certaines espèces, le tube est particulièrement long et peut donner l’impression d’étamines regroupées au sommet. Les anthères ne sont formées que d’un seul sac pollinique.
Le pollen des hibiscus serait un des plus gros avec 80 à 180 microns selon l’espèce ; à savoir que la taille moyenne d’un pollen ne mesure pas plus de 20 à 40 micromètres (ex microns), 7 microns de longueur sur 3 microns pour les plus petits (myosotis), et jusqu’à 150 microns à 200 microns, voire plus ( 300 microns d’après certains auteurs), pour les plus gros (courges).
Au centre du tube coulisse les styles unis (tige reliant l’ovaire au stigmate), plus longs que le tube staminal, ils laissent apparaître 5 stigmates séparés (parties femelles réceptrices de pollen) correspondant aux 5 loges ovariennes, les stigmates peuvent être de couleur jaune, rouge, blanchâtre ou orange.

Les styles unis, sur une grande partie au-dessus de l’extrémité du tube staminal, se séparent toutefois plus ou moins en-dessous des stigmates, ce caractère les distingue de genres tels l’Abutilon dont les styles sont libres dès la sortie du tube staminal, et de genres tels l’Alyogyne ou l’Abelmoschus dont les styles unis ne se séparent pas, seuls leurs cinq stigmates sont individualisés.

Famille Malvacées

Comme l’Hibiscus, d’autres genres, tels Abutilon, Malva (+Lavatera), Althaea (guimauves), Alcea (roses trémières), Anisodontea…, libèrent leurs styles plus ou moins au-dessus de l’extrémité du tube staminal, mais étant très nombreux, ils se séparent comme un bouquet de feux d’artifice, on les dit décurrents ; ces genres font partie de la tribu Malveae.

Malvaceae - tribu Malveae
Anisodontea capensis

∙ L’ovaire supère (pièces florales insérées en dessous) est composé de 5 carpelles (loges) soudés, mais individualisés, portant 3 ovules chacun.
En savoir plus sur La Fleur.
La fleur ne dégage aucun parfum, ce qui paraît très frustrant pour des humains interpellés par de telles beautés, mais il existe quelques rares exceptions, telles les hibiscus hawaïens à fleurs blanches, waimeae et arnottianus.

Hibiscus arnottianus

La pollinisation peut être assurée par des insectes à longue langue, particulièrement des papillons, mais surtout par les oiseaux (à l’odorat médiocre) tels les colibris attirés par la couleur rouge, et la promesse de nectar.
En général, l’élément femelle n’est réceptif qu’après le flétrissement des étamines (protandrie), évitant ainsi une autofécondation – consanguinité prohibée chez de nombreuses plantes, néanmoins certaines espèces sont auto-compatibles entre fleurs à proximité.
– Les fruits, souvent pubescents, sont en capsules ovales déhiscentes (ouverture spontanée) s’ouvrant par les 5 fentes des loges de l’ovaire (loculicide) ; cette caractéristique du fruit à 5 carpelles individualisés mais soudés est le signe d’un caractère primitif conservé, contrairement à d’autres genres de la sous-famille.
La majorité ont des capsules sèches mais par exemples, l’espèce sabdariffa a une capsule charnue, l’espèce trionum a une capsule qui se gonfle.

Hibiscus rosa-sinensis
Hibiscus coccineus

Les graines sont généralement pubescentes. Elles sont petites, de formes différentes selon l’espèce : rondes, réniformes, en goutte, cordées…
La dissémination est souvent anémochore (vent), parfois hydrochore (eau), parfois barochore (gravité).

Graines d'Hibiscus coccineus
Graines d'Hibiscus hamabo

– Chaque espèce compte de nombreux hybrides et cultivars aux couleurs variées, aux fleurs simples ou doubles, fleurs à multi-pétales aux étamines au nombre réduit à la faveur d’une modification en pétales. Un hybride non spécifique ou un cultivar est souvent infertile.
– Ennemis
Les hibiscus sont souvent attaqués par des pucerons, mais aussi par des cochenilles, des mouches, de l’oïdium…

Utilisations

L’hibiscus est cultivé depuis l’Antiquité en Égypte et en Asie du Sud-Est.
– Alimentaire
∙ Les feuilles des hibiscus herbacés à fleurs jaunes sont souvent consommées comme légume. Toutefois, toutes les fleurs d’hibiscus semblent comestibles crues ou cuites. Elles sont utilisées aussi comme colorant alimentaire.
∙ Les fleurs rentrent dans la composition de boissons rafraîchissantes et de thé. En Afrique de l’Ouest, cette boisson très prisée est nommée bissap ou oseille de guinée, et en Égypte karkadé ; elle est préparée à base de fleurs séchées de l’espèce sabdariffa et particulièrement des calices et des calicules.

Hibiscus sabdariffa - Jardin du Val Rahmeh à Menton (en octobre)
Bissap, oseille de Guinée

∙ Les graines des espèces sabdariffa et cannabinus sont riches en protéines, et sont utilisées en farine pour l’alimentation animale.
– Cirage
Les pétales broyés de cartaines variétés de rosa-sinensis donnent un jus noir, d’où le nom de ‘Shoeblackplant’ donné parfois à cette plante.
– Textiles
Faisant partie de la famille du coton, l’hibiscus offre aussi diverses utilisations textiles.
Hibiscus cannabinus – chanvre de Deccan et Hibiscus sabdariffa – roselle occupent une place importante dans la production mondiale des plantes textiles.
– Autrefois, fabrication de papier et de filets de pêche avec certaines espèces.
– Médicinales
La racine, la feuille et la fleur d’hibiscus possèdent de très nombreuses vertus médicinales, réputées pour être riche en vitamine E. L’espèce sabdariffa est particulièrement utilisée.
– Cosmétiques et parfums
Soins anti-âge – lotion capillaire…

Sous-famille Malvoideae
Hibiscus lavateroides

Anecdotes

– Emblèmes floraux
∙ L’espèce rosa-sinensis pour la Malaisie ; elle est aussi la fleur emblématique de la Guadeloupe.
∙ L’espèce syriacus pour la Corée du Sud.
∙ L’espèce brackenridgei est la fleur d’état de Hawaï.
– Symboles
∙ Au Vietnam, l’hibiscus symbolise une beauté vite fanée.
∙ L’Empereur chinois Meng Chang (934-965) avait une passion particulière pour les hibiscus ; il demanda alors à son peuple d’en planter autour de la ville de Chengdu qui devint ainsi la ville de l’hibiscus, symbole de gloire, de renommée et de splendeur. Chengdu, capitale du Sichuan, est la première ville chinoise jumelée avec la ville française de Montpellier en 1981.
. Sun Hai, un auteur chinois de vulgarisation scientifique sur les plantes, commente un passage sur les hibiscus du ‘Livre des Chansons : Zheng Feng’, il écrit : « La beauté ne dure qu’un instant et disparaît ensuite en un clin d’œil. Les fleurs d’hibiscus sont comme un beau rêve lors d’une nuit d’été, fugaces mais offrant aux gens des visions plus belles »
– Offrandes à la déesse hindoue Kali. En Inde, l’hibiscus blanc est dédié au Dieu Ganesh.
– Dans de nombreux pays, les fleurs ornent la chevelure des femmes. En Polynésie, une tradition dévoile les intentions des femmes : portée à l’oreille droite, la personne est célibataire, à gauche elle est prise.
– Très populaire au Japon, ils ont inspiré des artistes tels Hokusai (vers 1760-1849) ou Hiroshige (1797-1858).
– Si certaines espèces peuvent se révéler invasives, d’autres (plus rares) sont en danger d’extinction, c’est le cas de l’espèce insularis, originaire des îles Norfolk et Philipp, et de la Nouvelle-Zélande.

Mise à jour mai 2025.

Découvrir différents hibiscus et autres malvacées ou Retour à l’Accueil

  • Malvacées, sous-famille Malvoideae

    Abutilon – Callianthe

    Abutilon – Callianthe

  • Malvaceae - Malveae

    Alcea – Rose trémière

    Alcea – Rose trémière

  • Hibiscus bleu - Malvacées

    Alyogyne

    Alyogyne

  • tube staminal Hibiscus coccineus

    Hibiscus coccineus – Étoile du Texas

    Hibiscus coccineus – Étoile du Texas

  • fleur Hibiscus moscheutos

    Hibiscus moscheutos – Hibiscus des marais

    Hibiscus moscheutos – Hibiscus des marais

  • Hibiscus mutabilis – Hibiscus makinoi

    Hibiscus mutabilis – Hibiscus makinoi

  • fleur Hibiscus rosa-sinensis

    Hibiscus rosa-sinensis – Rose de Chine

    Hibiscus rosa-sinensis – Rose de Chine

  • fleur d'althéa

    Hibiscus syriacus – Althéa

    Hibiscus syriacus – Althéa

  • Mauve - Malvaceae

    Malva – Mauves et lavatères

    Malva – Mauves et lavatères

Copyright 2024 | Le peuple d'à côté | Développé par YES!Design
  • Accueil
  • Trouver une plante
  • C’est quoi une plante ?
    • La Fleur
    • Inflorescences
    • Sexualité des Spermatophytes
  • Blog
  • Contact

Le Peuple d'À Côté